CIRCONSTANCES ATT�NUANTES
Com�die de 1939 dur�e 85' n&b
R�alisation, sc�nario et lyriques de Jean BOYER D'apr�s l'�uvre de Marcel ARNAC Co-sc�nariste Jean-Pierre FEYDEAU Dialogues de Yves MIRANDE Directeur de la photographie Victor ARM�NISE Musique et Auteur des Chansons Georges VAN PARYS Montage de Maurice Serein D�cors de Jacques Colombier Ing�nieur du son Antoine Archimbaud
avec
Jacques Albert Julien Barrot Salinac
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Sortie le 26 juillet 1939 ![]() |
R�sum�
Ga�tan Le Sentencier et son �pouse Nathalie forment un couple bourgeois des plus stricts. Lui est procureur, redout� au Palais; elle, rev�che, m�ne une vie mondaine sans int�r�t. L'annonce de leur d�part en vacances rend perplexe le chauffeur Gabriel, qui voudrait rejoindre sa petite amie et qui, pour ce faire, trouve bon de provoquer une panne de voiture � la sortie de Paris. Bien malgr� lui, le couple Le Sentencier, perdu dans la nuit et affam�, se replie dans l'auberge du p�re Bouic et d'un seul coup se retrouve en face de gens du milieu. Le charme de "Marie qu'a d'�a" op�re rapidement sur M. Le Sentencier. De son c�t�, l'aust�re Nathalie ne reste pas insensible � l'�il noir de "M�me de Dieu". Peu � peu l'amiti� gagne, teint�e d'ailleurs de respect chez les mauvais gar�ons. Ils aiment bien ce "La Sentence" dont ils ne comprennent pas toujours les r�actions d'honn�te homme mais dont ils admirent la connaissance du code p�nal, sans soup�onner un instant qu'ils ont affaire � un s�v�re magistrat. Bien au contraire, ils estiment qu�il s�agit d�un chef de bande supr�mement habile. Il est adopt� et l'on d�l�gue Marie qu'a d'�a pour lui proposer un "casse". Le Sentencier, qui trouve amusant de jouer � ses frais le r�le d'un gangster, se r�jouit encore davantage de cambrioler son propre appartement et de se d�barrasser ainsi d'affreux objets d'art. L'apparition de "La Panth�re", redoutable p�troleuse et compagne d'un des copains de Le Sentencier bouleverse la situation. La Panth�re a et� durement condamn�e par Le Sentencier � "sans circonstances att�nuantes" �, mais La Sentence est subtil et il d�montre avec finesse que bien mal acquis ne profite jamais et que le crime ne paie pas. Aux beaux jours revenus, chacun s'amende "comme de bien entendu". M. et Mme Le Sentencier n'oublieront jamais leurs vacances singuli�res...
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